Vengeance Gynarchique

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 4 ans

J’étais à mon domicile quand le téléphone sonna. Une voix à laquelle on ne peut pas résister m’ordonna de venir immédiatement chez elle. C’était Maîtresse Karine qui semblait angoissée et je me dépêchai donc.

Maîtresse Karine était en réalité lesbienne et dominatrice gynarchique. J’étais donc son esclave entièrement à sa disposition.

Quand j’arrivais, je me mis dès l’entrée à genoux et je m’approchais donc du salon. J’entendais pleurer et je vis son amie Sonia en larmes et j’appris que son mari l’avait quitté.

Karine lui disait qu’on ne pouvait pas faire confiance aux hommes et réconforta Sonia dans ses bras tendrement, doucement.

Elle me regarda et ordonna ma nudité et la mise en laisse et collier de cuir. Je m’exécutais rapidement et ainsi offert comme un chien, elle tendit la laisse à Sonia. Elle ne savait que faire mais Karine lui dit : venge-toi.

Comme Sonia hésitait, elle lui glissa dans l’oreille : « fesse le, en imaginant ton mari et tu verras que cela te sera de suite agréable. » Sonia s’approcha avec Karine et commença à caresser mes fesses offertes puis je pris un petit coup hésitant, puis un deuxième et comme une pluie, les fessées se mirent à pleuvoir de plus en plus fortes et rapides, je gémissais à chaque coup porté.

J’avais les fesses rougies quand Sonia s’arrêta avec le même sourire que Karine. Elle se sentait mieux et prête à continuer ce jeu, apparemment. On me tira vers le lit et elles m’attachèrent contre les barreaux du lit. Je les vis s’embrasser et Karine attira Sonia contre elle, Sonia résista à peine avant de se coller complètement offerte aux baisers de ma Maîtresse, sa robe glissant à ses pieds, nue, bronzée à souhait, de merveilleux seins en poire que Karine se mit à lécher et sucer doucement tirant de la bouche de Sonia des gémissements de satisfaction.

Puis, Sonia se laissant tendrement allonger, écarta les cuisses et Karine la fouilla de sa langue. J’étais émerveillé et excité par cette scène et Karine s’en aperçut. Elle dit à Sonia de me tendre ses pieds et je me mis à les lécher sans pouvoir les toucher et faire autre chose mais je léchais chaque orteil, chaque parcelle des pieds de Sonia ; Karine me tendit ensuite les siens et je faisais la même chose. Elles continuaient leur jeu de plaisir devant moi quand j’entendis Sonia pousser un cri plus fort et trembler avant de se sentir honteuse, Karine lui dit que ce n’était rien avec un sourire d’ange et j’en vis la cause, Sonia venait de jouir et avait mouillé tout le lit et aussi Karine.

Sonia me dit de boire son plaisir sur le lit et sa chatte. Karine jouissait à son tour de cette scène en se doigtant. Je léchais donc le lit et longuement le sexe parfumée de Sonia. Elle voulait aller encore plus loin, mais Karine devait partir. Elle m’emmena donc au sous sol dans son donjon et me mit dans la cage à la disposition de Sonia.

Je me retrouvais donc seul avec son amie.

Elle me sortit de la cage et m’attacha sur la croix de Saint-André et elle se déshabilla. Tu vas jouir à ton tour, esclave et à ma façon…

Je ne savais où elle voulait en venir mais elle m’enjamba et mit son sexe sur mon visage après avoir attrapé un martinet. Fais moi jouir ou tu prends des coups de fouet, chien. Je me mis à la lécher et d’entrée de jeu elle me fouetta le ventre. Mieux que ça, me dit-elle.

Je m’appliquai mais elle semblait inlassable et les coups tombèrent de plus en plus, sur les cuisses, le ventre, le sexe, le torse…

Cela me brûlait de partout mais elle était déchaînée.

Elle m’allongea ensuite sur le ventre, cuisses écartées, sexe et couilles offertes tirés vers l’arrière et se mit à califourchon sur moi ; je sentais son sexe humide se frotter contre mes fesses et mon dos alors qu’elle me caressait le derrière et sa main se fit inquisitrice ; elle commença à frotter mon anus après avoir récupérer de son liquide de désir qui humidifiait son sexe et me doigta. Elle s’enfonça en moi et fit des va et vient. Je prenais du plaisir et elle vit mon sexe grossir. Elle eut une idée, elle continua son petit jeu et évalua la taille de mon sexe après m’avoir branlé. Je la vis se lever et aller chercher un gode ceinture assez imposant.

Elle me dit : l’anus d’un homme, d’après ta maîtresse et capable de se dilater au minimum de la largeur du sexe en érection de ce dit-homme. Alors, je vais essayer de suite. Elle mit le gode en place et s’approcha de moi, elle me mit sur le rebord de la table à genoux, buste penché en avant et elle enduit le gode de vaseline. Elle s’approche et caresse mes fesses puis mon anus avec la vaseline avant d’y poser le gode, je le sentais énorme et elle f o r ç a un peu. Je me sentis ouvert et elle s’enfila d’un coup en moi. Je criais en sentant la colonne en moi puis elle me laissa ainsi reprendre mes esprits pendant de longues secondes, que je comprenne que je lui appartenais totalement sur l’instant.

Ensuite, je sentais son mouvement de reins d’avant en arrière et elle effectuait des cercles à chaque poussée comme pour mieux me dilater. L’excitation me gagnait pendant que la première douleur disparaissait. Mon sexe était énorme et je sentais son gode cogner contre mes fesses et mes couilles.

Elle frappait mes fesses par moment et semblait prise d’une folie vengeresse. J’étais devenu son souffre douleur et son exutoire ; à ce moment, maîtresse Karine rentra et applaudit la situation. Sonia sentit la tension redescendre et la rejoignit me laissant l’anus béant sur la table épuisé et en érection.

Karine regarda le résultat et salua la performance de Sonia. Elle m’ordonna de retourner dans ma cage et m’enferma ainsi nu et souillé. Je les vis remonter à l’étage et la lumière s’éteignit.

J’entendais une fête à l’étage rien qu’avec des voix de femmes. J’étais intrigué mais fatigué suite à cet après midi bien rempli.

Puis la lumière s’alluma et Sonia en immense robe noire vint me chercher en tirant la laisse. Elle m’ordonna de me laver totalement et m’attacha sur la table gynécologique afin de me faire subir un lavage rectal pour me préparer. Elle mit une grande poche de liquide en hauteur et m’enfila une sonde rectale. Puis elle brancha la sonde et ouvrit le robinet, la pression du liquide dans mon ventre commençait à monter et je sentais une douleur arriver mais je ne pouvais évacuer car la sonde empêchait toute fuite de liquide.

Karine nous rejoignit et vit ma grimace avec satisfaction. Elle laissait faire Sonia, son apprentie, et invita ses amies à nous rejoindre. Elle eurent un frisson de joie de voir un homme ainsi offert et attaché. Apparemment, je devais être le clou du spectacle de cette soirée en l’honneur de Sonia, nouvelle venue dans leur club très fermé de la gynarchie.

Elle contrôlait la sonde en déclampant et en reclampant et je me vidai au fur et à mesure. Elle recommença une deuxième fois la même opération.

Elle me branlait le sexe en même temps avec un gel lubrifiant devant l’assistance féminine et leurs petites dents acérées de plaisir. J’étais une proie au milieu de prédateurs. Puis, elle me libéra et m’emmena à quatre pattes sous la douche. Je me lavais et je montais les escaliers devant toutes ces dames en tenues affriolantes mais dangereuses comme des louves affamées.

Leur prêtresse, Karine, me mit au milieu du vieux tapis du salon que j’avais nettoyé le week-end dernier et qui servait de lieu d’orgie gynarchique. J’étais à quatre pattes comme un chien et tour à tour je léchais leur pieds, leurs talons aiguilles, leurs bottes de cuir ; au total, elles étaient neuf. Puis, elles se déshabillèrent complètement. Sonia était entre les cuisses de Karine, la léchant, la caressant , la doigtant,…

Je voyais le corps de Sonia devant moi, si beau si doux et je ne pouvais y goûter en dehors de ses pied devant moi. J’étais excité et ça se voyait. Mais je ne bougeais point, chaque femme se caressaient, se léchaient se donnant mutuellement du plaisir sauf une qui me regardait et décida de me coucher sur le ventre et de m’enjamber. Elle me fessa ainsi, une cavalière avec ses bottes de cuir sur sa monture. Elle prit le coffre de bois et l’ouvrit, elle vit la taille de mon sexe et prit un gode plus épais qu’elle vaselina. Puis elle le frotta à l’entrée de mon anus et me pénétra cm par cm. Je gémissais en offrant ma croupe à chacun de ses coups et les femmes me regardèrent. Elle riaient. Puis tour à tour, elles prirent un gode plus gros, elles me les faisaient lécher, sucer avant de les enduire et de me pénétrer. Mon anus semblait totalement dilaté, élargi mais ça continuait sans arrêt.

On filma la scène avant de me lâcher sur le tapis tremblant, tout le monde fut étonné des 20 minutes de godage après la première pénétration. On me la fit visionner et cela les excitaient car elles continuèrent leur jeu entre elles en laissant le film défiler. En voyant la bande, elles étaient expertes car la dilatation avait été progressive même si elles paraissaient v i o l entes par moment.

A la fin, celle qui m’avait godé en premier, elle s’appelait Sandrine, m’emmena sous la douche et me fit asseoir par terre, elle écarta les cuisses et urina sur moi en jets v i o l ents, satisfaite. Puis, elle me pinça les tétons et me fit lécher son sexe plein d’urine ; au moment ou j’ouvrais la bouche pour lécher, elle me plaqua son sexe contre moi et ma tête heurtant le bord de la douche, elle urina un dernier jet dans ma bouche et la ferma v i o l e m m e n t. Avale ! me dit-elle. Je n’avais pas le choix, j’avalais cette urine.

Satisfaite, elle me repoussa sur le tapis et me félicita pour ma tenue de salope envers mes maîtresses, j’étais un animal bien élevé.

Elle alla ensuite rejoindre deux jeunes jolies femmes qui n’avaient pas 20 ans et leur dit de s’occuper de moi. Elles vinrent les yeux brillants fiévreux de plaisir, se frottèrent contre moi, mon corps était douloureux et chaque caresse était comme une brûlure. Sophie prit mon sexe dans sa main droite et commença à me branler avec un gel médical, mon sexe était énorme mes couilles douloureuses mais ce n’était que le commencement, car elle prit de la cordelette et ficela chacune de mes couilles pour les faire ressortir, je gémissais de douleur et de plaisir en même temps.

Son amie, Cindy, avait branché des fils électriques sur une batterie de 12 volts et m’électrifia la base du sexe, je criais de douleur car le gel répartissait la charge électrique de partout. Elle rirent de leur plaisanterie et pour continuer leur petit jeu pervers, une dominatrice tenait chacun de mes membres au sol et une s’asseyait sur mon visage en frottant son sexe humide contre ma bouche et en me plaquant bien fort. Elles firent la même chose à chacun de mes tétons et je gémissais étouffé à moitié. Deux dominatrices maintenaient mes cuisses écartées genoux relevés, anus offerte et je sentis qu’on me le doigtait de nouveau avec du gel, les deux jeunes perverses électrifièrent mon anus et je criais toujours étouffé sous ce sexe parfumé et humide. Je sentis une jouissance aiguë s’écouler de ce dernier et j’avalais donc ce plaisir.

Mes couilles étaient v i o l ettes, douloureuses ; on me détacha complètement et on me laissa ainsi reprendre mes esprits. Mon sexe palpitait et Sonia vint le toucher, il était brûlant. Je l’entendis dire « Mes amies, voulez vous ? moi oui, je veux le voir jouir et lui faire boire ce que mon mari me faisait…

  • Oui, oui !! criaient-elles

Et Sonia prit mon sexe et le branla doucement, me releva les cuisses et mes fesses de nouveau offertes, Karine me goda avec son gode ceinture en bois dur et m’enfila fortement et commença un va et vient, je gémissais de plus en plus fort et je me mis à jouir en jets v i o l ents, douloureux, j’en avais plein le torse et le visage… Sonia prit ma semence du bout de ses doigts et me la mit de f o r c e dans la bouche mais je ne pouvais même plus lutter, l’anus ouvert par Karine, le corps souillé de sperme par Sonia. Elles étaient toutes folles de joies de me voir si dépravé après cette soirée.

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